"Petit rappel : le PDEDMA date de 1996. Il a été révisé en 2002 et prévoyait donc deux incinérateurs. M. Camatchy était alors conseiller général et il a approuvé ce schéma.
En 2004 je suis élu au conseil général. En 2008, en tant que vice-président délégué à l’environnement, face à l’inaction et à l’immobilisme j’entreprends dans le cadre d’une démarche concertée, une nouvelle révision du plan, et propose une solution pour sortir de l’impasse. Je respecte mes convictions, je suis contre l’incinération et je plaide pour le tri à la source, la valorisation et le recyclage.
Ce plan dans lequel ne figure pas l’incinérateur est voté par les conseillers généraux. C’est un dossier qui dormait depuis très longtemps. C’est sur la base de ce plan non figé, ouvert et permettant des évolutions, que d’autres propositions sont faites aujourd’hui.
En tant que président de la Cirest, j’ai clairement fait savoir quelle était ma position, en restant ouvert au dialogue et se réservant le droit de consulter l’ensemble de mes collègues communautaires sur ce sujet important pour un développement durable de la Réunion.
En fait, pour ne rien changer, parce qu’avec lui rien ne change, M. Camatchy tente de faire croire, de manière innocente, qu’il découvre les choses alors qu’il a été élu depuis plus de 25 ans. Mais il ne trompe personne et c’est bien le signe de son incompétence, de ses reniements.
Il a été conseiller général, premier vice-président du département, premier adjoint, et devrait avoir le courage de reconnaître qu’il était en mesure d’agir à l’époque. Qu’a-t-il proposé mis à part les deux incinérateurs ? Quel plan a-t-il fait valider ? De plus, il a été longtemps premier adjoint à l’ancien maire de Saint André, au temps où ce dernier défendait l’incinérateur. Il fut collègue de celui qui a été le président de la Cirest pendant dix ans.
Jamais il ne s’est opposé à eux sur ce dossier ! Je rappelle qu’il a fallu attendre la nouvelle majorité municipale pour voir des bacs jaunes sur notre territoire !
Aujourd’hui, prendra-t-il ses responsabilités à la région (qui a la compétence du plan des déchets industriels et spéciaux et dangereux), dans un dossier global qui demande le sens de la concertation et de l’engagement ? Au vu de ce qu’il dit et qui relève davantage de la basse politique politicienne, on peut en douter !
SI un autre plan voit le jour, il aura la possibilité ce qu’il pense, car la collectivité dans laquelle il siège sera amenée à émettre un avis.
Cependant, je comprends aisément qu’il veuille faire une sortie dans les médias, juste pour répondre au conseiller municipal de l’opposition sur ce sujet et prolongé une querelle d’opposants".
En 2004 je suis élu au conseil général. En 2008, en tant que vice-président délégué à l’environnement, face à l’inaction et à l’immobilisme j’entreprends dans le cadre d’une démarche concertée, une nouvelle révision du plan, et propose une solution pour sortir de l’impasse. Je respecte mes convictions, je suis contre l’incinération et je plaide pour le tri à la source, la valorisation et le recyclage.
Ce plan dans lequel ne figure pas l’incinérateur est voté par les conseillers généraux. C’est un dossier qui dormait depuis très longtemps. C’est sur la base de ce plan non figé, ouvert et permettant des évolutions, que d’autres propositions sont faites aujourd’hui.
En tant que président de la Cirest, j’ai clairement fait savoir quelle était ma position, en restant ouvert au dialogue et se réservant le droit de consulter l’ensemble de mes collègues communautaires sur ce sujet important pour un développement durable de la Réunion.
En fait, pour ne rien changer, parce qu’avec lui rien ne change, M. Camatchy tente de faire croire, de manière innocente, qu’il découvre les choses alors qu’il a été élu depuis plus de 25 ans. Mais il ne trompe personne et c’est bien le signe de son incompétence, de ses reniements.
Il a été conseiller général, premier vice-président du département, premier adjoint, et devrait avoir le courage de reconnaître qu’il était en mesure d’agir à l’époque. Qu’a-t-il proposé mis à part les deux incinérateurs ? Quel plan a-t-il fait valider ? De plus, il a été longtemps premier adjoint à l’ancien maire de Saint André, au temps où ce dernier défendait l’incinérateur. Il fut collègue de celui qui a été le président de la Cirest pendant dix ans.
Jamais il ne s’est opposé à eux sur ce dossier ! Je rappelle qu’il a fallu attendre la nouvelle majorité municipale pour voir des bacs jaunes sur notre territoire !
Aujourd’hui, prendra-t-il ses responsabilités à la région (qui a la compétence du plan des déchets industriels et spéciaux et dangereux), dans un dossier global qui demande le sens de la concertation et de l’engagement ? Au vu de ce qu’il dit et qui relève davantage de la basse politique politicienne, on peut en douter !
SI un autre plan voit le jour, il aura la possibilité ce qu’il pense, car la collectivité dans laquelle il siège sera amenée à émettre un avis.
Cependant, je comprends aisément qu’il veuille faire une sortie dans les médias, juste pour répondre au conseiller municipal de l’opposition sur ce sujet et prolongé une querelle d’opposants".